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31 mai 2008

l'épopée du parapluie magique

hier soir avait lieu le concert "ricard" (et oui!!)NRJ sur notre bonne vieille place du capitole avec en gest stars Martin Solveig et Maroon 5 ! Bien que non fans de ces gens nous nous y sommes rendus, et oui ,c'est pas tous les jours qu'on peut assister à un concert gratuit!!C à quoi nous n'avions pas pensé c'est que tous les autres pauvres de la ville s'y étaient aussi donné rendez-vous. et dans une fourmiliere c'est dingue comme on se sent petite!! alors épris de bonne volonté et surtout de cette naîveté qui qualifie toutes nos soirées, nous avons entrepris la quête d'une place en face de la scene avec pour seul flambeau un parapluie! Vous décrire l'épopée que nous avons vécu ne serait qu'une pale copie de l'aventure réelle car passer entre des gens transformés en kangourou aux hormones en folie n'est vraiment pas chose facile!! C'est au bout de 5 minutes de cette traversés que nous nous sommes apperçues que nous n'étions plus que deux (au lieu de 8 au départ) dans ce four humain! la suite à été plutôt chaotique entre retour au point de départ compliquées par ces sauts étranges qui avaient pris posséssion de tous les gens du publique, ceux qui comme par magie voulaient devenir vos amis et vous empêchaient de passer parce qu'ils pleuvaient et que vous aviez un parapluie et ceux qui gueulaient (essayez de franchir une foule avec un parapluie sans en assomer un ou deux!).

Nous avons donc pris l'initiative d'aller a mcdo , tout en haut afin de voir nos amis dans la foule. Eh non! cette naîveté ne nous avez pas quittée, car ni Nictalopes ni Inspécteur gadget nous nous sommes vite appérçues qu'on y voyait humm comment dire?? que d'al!!!!... On est donc restées là telles des aventurieres de pekin express dans le desertdes cailloux plein les chaussures, à tenter coûte que coûte de discerner un t-shirt rose ou autre signe distinctif. au bout d'une demi heure de fouille visuelle intensive et de tentative d'écoute du concert oreille collée au double vitrage. Nous sommes passée au plan B et c'est sur une "bite" (non, pas celle que vous croyez..;)que nous sommes montées volant au passage la place à une innocente enfant et sa mère. Parapluie ouvert en main , (sous la non pluie) tentant de lutter contre les moqueries intempestives celle rencontrée à peu prés 350 fois et soldée par un doigt d'honneur à chaque fois étant "héééééééé mais vous savez que ça fais longtemps qu'il pleut plus?," , lutter contre les especes de drogués usant de toute leur force pour nous arracher notre arme de ralliement, et les originaux que nous pensions gay qui profitait de l'image romantique du parapluie ouvert afin de venir s'y embrasser gouluement (ces deux hommes s'avérerent plus tard totalement hétéro car accompagnés de leurs copines qui les traiterent de, je cite , "gros dégeulasses"...)foule

Vous vous demandez tous comment se termine cette histoire passionnante faite de crampes au bras et de parapluie et bien sachez que les personnes que nous avons toute la soirée tenté de retrouver et dont nous pensions quelles aussi cherchaient à nous retrouver , nous ont dit aprés retrouvailles quelles s'étaient éclatées comme des folles au milieu de la foule....

La prochaine fois on gardera le parapluie pour faire parvenir nos phéromones au chanteur de Maroon 5...hihihi

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31 mai 2008

sur les rails

Sur les rails vogue le train

C’est une épopée sans fin

Un coup au jour, l’autre la nuit,

Dans la vitesse mon cœur s’enfuit.

Inquiétude et mélancolie,

Attrait de l’inconnu et déni,

Sans cesse je recasse ma vie.

L’image des paysages est brouillée ;

A cause de cette vitesse folle, je n’peux admirer

Les monts et les vaux, étrange beauté,

D’un paysage pourtant d’habitude ignoré.

Peu à peu la pluie tombe,

Derrière moi l’on parle d’une bombe.

Boule de fer pleine de circuits,

Fruit de la folie des hommes et de l’ennui.

Sans crier gare quelqu’un surgit,

Dévisageant avec mépris,

Une pauvre femme assoupie.

Non ! ne tirez pas je vous en prie !

N’eut elle pas le temps de crier…

Tirée par l’assassin misogyne,

La balle lui transperça l’échine.

Ils n’avaient  été coupables que d’exister…

« ILS » car elle portait un bébé…

Fier de son œuvre, le tueur tout gai,

Descendis au prochain arrêt.

Quand à moi, je m’ennuie toujours,

Dans ces trains où l’on rêve d’amour,

Malgré cette escale rocambolesque

Le voyage me semble toujours grotesque,

J’ai déjà oublié cette histoire

Comme tous ces autres passagers du soir

Car après tout qui s’en soucie,

A par le futur père qui attend en vain,

Fleurs et ballons à la main,

A l’autre bout du quai du train…

963464722

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